"À propos de Rigoletto de Verdi
Theater Biel-Solothurn, février-juin 2013
« Auch die kleineren Rollen sind mit Mitgliedern des Ensembles oder mit Absolventen des Schweizer Opernstudio tadellos besetz und wurden glaubwürdig gespielt : Anita Dafinska (Maddalena), Nadia Catania (Giovanna), Dong-Hee Seo (Monterone), Bojidar Vassilev (Marullo), Konstantin Nazlamov (Borsa), Matthieu Heim (Conte di Ceprano), Stephanie Ritz (Contessa und Paggio), sie alle trugen das Ihrige zu einer stimmigen Auffürung bei. »
(Daniel ANDERS, Bieler Tagblatt, 25.02.2013)
« Au total une distribution homogène qui défend l’œuvre avec engagement, et des petits rôles tenus très honorablement. »
(wanderer.blog.lemonde.fr, 06.06.2013)
À propos de La cambiale di matrimonio de Rossini
Coproduction Académie Baroque d’Ambronay - Festival d’Aix-en-Provence / juillet & novembre 2012
« Matthieu Heim et Alexandra Schoeny sont des comprimarii efficaces, le premier campant un Norton fort drôle, la deuxième n'étant pas en reste en interprétant une pétulante Clarina. »
(ODB-Opéra, 29.11.2012)
« Matthieu Heim joue les factotums avec humour et bonne tenue vocale. Pour ce qui est du plateau, le sextuor de voix est à la hauteur des ambitions affichées : jeunesse, dynamisme, engagement de chaque instant. Reste un spectacle agréable et le plaisir d’entendre des voix qui sont l’avenir du chant lyrique. »
(Patrick De Maria, La Marseillaise, 25.07.2102)
« Egalement sur-mesure sonne le duo de domestiques, Matthieu Heim, Norton, et Alexandra Schoeny, Clarina pleine de répartie. »
(Gilles Charlassier, ConcertoNet.com,21.07.2012)
« Baryton de grande qualité, Mattieu Heim (Norton) »
(Victoria Okada, Res Musica, 15.07.2012)
« Et, surtout, on se concentra sur les chanteurs, tous les six excellents. Retenez leurs noms : la basse portugaise Job Tomé (Tobia Mill, le marchand vendant sa fille), la soprano espagnole Elisandra Mélian (ladite fille), le ténor anglais Anthony Gregory (amoureux de la précédente), le baryton américain Eugène Chan ("acheteur" de l’infortunée) ainsi que le couple de domestiques, la soprano américaine Alexandra Schoeny et le baryton-basse français Matthieu Heim : jeunes mais expérimentés, avec les caractéristiques physiques et vocales de leur rôle, et aussi excellents acteurs. »
(Nicolas Blanmont, La Libre Belgique, 12.07.2012)
« Norton et Clarina sont finement et drôlement interprétés par Matthieu Heim et Alexandra Schoeny. »
(Operaphile, 15.11.2012)
« La prolixité des membres du sextuor vocal fait plaisir à voir. Leur jeunesse et leur expérience sont un vrai régal. Il y a là quelques individualités à suivre. C'est peu dire que tous brûlent les planches »
(Jean-Pierre Robert, L’Education Musicale, n° 65, déc. 2012)
« Pour interpréter les rôles-titres, Job Tomé, Eugene Chan, Matthieu Heim (barytons), Elisandra Meliàn et Alexandra Schoeny (sopranos) tout comme Anthony Gregory (ténor) sont issus des meilleurs conservatoires européens et américains. (…) ils ont littéralement ébloui l’auditoire (…). Une brillante carrière est annoncée pour chacun d’eux. »
(Pierre Aimar, www.arts-spectacles.com, 17.07.2012)
À propos de Falstaff de Salieri
Schweizer Opernstudio / Juin 2012
« Matthieu Heim charakterisiert einen linkischen Slender, lässt mit Sanft-bass edlem Timbre aufhorchen ».
(Silvia RIETZ, Solothurner Zeitung, 20.06.2012)
« Matthieu Heim schliesslich füllt die etwas weniger dankbare rolle des Mr. Slender glaubhaft. »
(Daniel ANDRES, Bieler Tagblatt, 18.06.2012)
À propos de Don Giovanni de Mozart
Theater Biel-Solothurn / Oct. 2011 – Avril 2012
"Matthieu Heim in der Haut des Masetto wirkt in anrührender Tölpelhaftigkeit und Trotz ebenfalls glaubwürdig."
(Daniel Andres, Bieler Tagblatt, 31.10.2011 )
"Als Bauernpaar Masetto und Zerlina schliesslich lassen mit Matthieu Heim und Clara Meloni zwei höchst talentierte Mitglieder des schweizer Opernstudios aufhorchen."
(Peter König, Der kleine Bund, 01.11.2011)
"Dans les personnages secondaires, il faut souligner (...) la présence scénique de Masetto (Matthieu Heim)."
(Tamara Zehnder, Journal du Jura, 11.11.2011)
"In die Herzen des Publikums spielten und sangen sich auch die Bühnen-Newcomer des Schweizer Opernstudios, Clara Meloni und Matthieu Heim, als Brautpaar Zerlina und Masetto."
(Silvia Rietz, Der Sonntag, 6.11.2011)
À propos de Naïs de Rameau
Cité de la Musique / Avril 2011
« Le frère du roi des dieux est confié à la basse sombre de Matthieu Heim qui s’en acquitte également avec les honneurs – quelle présence, pour un si petit rôle ! »
(Loïc Chahine, Muse Baroque, 06.04.2011)
« Le trio Arnaud Marzorati, Mathias Vidal et Matthieu Heim, stylistiquement impecccable et au chant élégant… »
(Viet-Linh Nguyen, Muse Baroque, 06.04.2011)
À propos d’Atys de Lully
Musiques à la Chabotterie / Août 2009
« Après un Temps irréprochable, la basse Matthieu Heim campe un Idas attachant, assumant sans emphase la préciosité de l’écriture vocale, préciosité qu’il rend naturelle par la paradoxale simplicité de sa déclamation dont le souffle très long est l’allié dévoué ; on le retrouve plus tard en Dieu du fleuve Sangar et, surtout, en Phobétor – nous en reparlerons. »
(Bertrand Bolognesi, Anaclase, 11.08.2009)
« Matthieu Heim fut Idas, le Temps, Phobétor et Sangar avec une égale maîtrise de la musique et du vers. Le souffle long sur lequel la voix vient se poser rend son phrasé clair, et dès les premières phrases du Temps, on est étonné et ravi d’entendre chaque vers comme une entité cohérente. De l’Idas discret mais présent au Sangar joyeux, chaque intervention est un enchantement, dont la variété ne laisse pas supposer les autres personnages tenus par le même chanteur. La voix est belle - une de ces belles voix de basse comme on en entend rarement - pleine et profonde tout en étant soutenue. Matthieu Heim a su interpréter chaque moment comme une capsule de poésie, qu’elle soit galante ("Amants qui vous plaignez", acte I scène 2) ou bachique ("Que l’on chante, que l’on danse", acte IV,scène 4). (Loïc Chahine & Pedro Octavio Diaz, Muse Baroque,août 2009)
« Unter den fünf Künstlern, die sich den ingesamt zwölf Nebenrollen widmieten, sei stellvertrend der bezaubernd klare Bass von Matthieu Heim vor allem als Allegorie der Zeit im Prolog genannt. »
(Bernhard Drobig, Online Musik Magazin, 12.08.2009)
« Matthieu Heim fut un Temps implacable, avant d'incarner un Sangar à la gaîté grinçante et dont le débordement tonitruant trouvait un écho réceptif ; son Idas insinueux, trop parfait courtisan, confident indiscret et accoucheur forcé de secrets cachait des zones d'ombres inhabituelles dans ce registre. »
(Emmanuelle Pesqué, ODB Opéra, 23.08.2009)
« Les chanteurs convoqués par Hugo Reyne sont tous excellents… notons notamment la belle et grave ligne de l’Idas de Matthieu Heim »
(Maximilien Hondermarck, Forumopera.com, 21.10.2010)
« Le quatuor d’hommes composé alors de Romain Champion, Vincent Lièvre-Picard, Aimery Lefèvre et de la basse (impeccable) Matthieu Heim (qui incarne avec un bel aplomb aussi le Temps du Prologue et le dieu fleuve Sangar) saisit par la cohérence de sa couleur, là encore la précision naturelle de l’articulation, son engagement collectif. »
(Alexandre Pham, Classiquenews.com, 13.08.2009)
« This spellbinding performance also features Vincent Lièvre-Picard’s sweet high tenor Morphée and the consoling bass voices of Matthieu Heim’s Phobétor and Aimery Lefèvre’s Phantase. »
(David Vickers, Gramophone.co.uk , 03.12.2014)
« …solistes de très haut niveau, tant du côté des seconds plans que des premiers. »
(Jean Gallois, Opéra Magazine, n°55, octobre 2010)
À propos des Brigands d’Offenbach
Athénée-Théâtre Louis Jouvet / Février-mars 2007
« Christophe Grapperon, Matthieu Heim, Jacques Gomez sont des basses qui font palpiter les sens. »
(D.Dumas, théâtres. Coups de cœur et commentaires, 22.02.2007)"
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